septembre 24, 2006
Myriam
Myriam, ton nom résonne comme un drame
Mais pour moi c’est le mélodrame
Car d’un autre tu es la femme
Ma Myriam
Une flamme, pétille dans tes grands yeux d’enfants
Taquine, presqu’innocente et insouciante, jeux d’enfants
Myriam, te souviens-tu de cet instant, chantant
Ma Myriam
Myriam, aujourd’hui tu es une femme
Et loin de moi tu fais tes charmes
Tous tes amis tu les désarmes
Ma Myriam Ta voix, faisait chanter l’eau du ruisseauTa bouche, comme un fruit sorti des roseaux, délicieux
Myriam, on planait tous deux dans les cieux, amoureux
Ma Myriam
Myriam, je t’ai retrouvée dans une larme
Que tu m’as donnée comme une femme
Mûrie par la vie et ses drames
Ma Myriam
Cette larme, a coulé au fond de mon coeur
Fragile, je l’ai couvée parmi les fleurs, déversés
Sur toi, sur le bonheur qu’on a pas eu, je pleure
Ma Myriam…
W.Lip
1992
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